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Dans le collimateur des autorités iraniennes après le tournage de son premier film américain en 2009, Mensonges d’État, de Ridley Scott, et ses apparitions non voilée sur les tapis rouges, Golshifteh Farahani, menacée, dû quitter son pays – où vivent encore ses parents – pour trouver exil en France. Depuis, la jeune femme s’affranchit de tous les interdits édictés au royaume des mollahs, quel qu’en soit le prix à payer. La liberté reste son seul moteur, dans sa vie de femme comme dans sa filmographie.